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  • : Blog de la section syndicale de l'entrepôt Boulanger à hénin-beaumont
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Les Nanards !

20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 00:57
Aquarius...

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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 00:22
Si tu es ...

- caridaque
- adhérent à l'ump
- gérontophile
- psycho-depréssif
- fan de demis roussos
- paroissien à saint nicolas du chardonnet


ALORS CE PETIT CLIP N'EST PAS BON POUR TA SANTE !

Par contre, si tu es...


- champion du canada de " lancer de tête de caribou "
- vendeur de produits X à la retraite
- moine boudhiste reconnverti dans la tektonik
- chomeur longue durée
- amateur de hot-dog
-  vendeur de meubles à conforama



ALORS CE PETIT CLIP EST BON POUR TA SANTE







n'dombolo


Quand j'ai envi d'insulter sarko, je rgarde ce clip
Ca me calme                              
:-)
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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 23:45
Message pour Bernard LAPORTE...  de vincennes  ( j'ai pas pu me retenir         lol )

La haine est un sentiment de répulsion intense éprouvé à l'égard de quelqu'un (parfois quelque chose). Il s'agit en définitive d'un désir de destruction de l'objet (être ou chose) sur lequel il porte.

La haine est souvent considérée comme une réaction à une situation (notre entourage ou notre environnement) ou à la perception que l'on en a. Elle est alors plutôt saine et preuve de la capacité à réagir et à agir.

Néanmoins, cette attitude est plutôt contemporaine. La haine a à de nombreuses époques été présentée presque exclusivement sous l'angle d'une pulsion terrible, destructrice et aliénante. Mais sous cet angle, la haine est aujourd'hui parfois considérée comme moins négative qu'autrefois.

Dans le langage courant, « avoir la haine » est un état de fureur qui est justifié ou expliqué par une réaction incontrôlable à une situation ou une personne qui a porté un tort considérable à celui ou celle qui a la haine. Terminologie plutôt originaire des banlieues, l'expression " avoir la haine " est certainement en passe de se répandre plus largement dans la société française.

L'amour est communément considéré comme le sentiment antagoniste de la haine. Cet antagonisme est cependant versatile, le vécu des passions basculant de l'un à l'autre selon les perceptions de l'affect. Plus précisément c'est la compassion qui est l'antagoniste de la haine, de par l'universalité intrinsèque de sa nature: la compassion, en s'adressant forcément à tous, est bien l'opposé de la haine, qui peut à la fois être particulière et universelle.

En ce sens, c'est la compassion qui définit le mieux le fondement de la morale, et qui constitue la singularité téléologique de toute forme de religion dite "de salut". La haine, pour sa part, procède essentiellement d'un aspect passionnel du nihilisme et d'un refus et d'une exclusion de l'Autre, qu'il soit sujet ou objet de l'expérience.

Il faut faire très attention à la haine, car elle développe des états de pensée et physique pouvant être destructeurs pour celui qui la projette et aussi pour sa victime. Elle emmène souvent à la violence et ne résout en rien les problèmes, bien au contraire elle les empire.

Le préjugé, le rejet, le repli sur soi et l'intolérance sont souvent associés à la haine. Le  nettoyage ethnique est une forme de haine qui a des origines ethniques et religieuses.


Pour France/Brésil on fait quoi ? On fait ça au bois d'Boulogne ?







 Et du jambon madrange !
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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 23:32

Souvenez-vous, c’était il y a un an. A cette époque, nulle crise financière, nulle chute de la bourse, et pourtant un sentiment d’urgence pousse Luc Chatel, secrétaire d'Etat à la Consommation, à devenir devin et à annoncer au JDD le dépôt prochain d’un amendement visant à permettre le travail du dimanche, mettant ainsi fin aux actions judiciaires engagées par différents syndicats.

La disposition finalement adoptée ne prévoit finalement qu'une dérogation (la 181e) au droit commun du travail pour les commerces du secteur de l'ameublement, grâce à l'entremise de la sénatrice UMP Isabelle Debré. Mais deux engagements passent à la trappe : la mesure ne devait concerner que des employés volontaires, et ces derniers devaient être payés double.

Pris en défaut, la main sur le cœur, les promoteurs du texte promettent de corriger cette erreur au printemps. C'est ce qu'annonce Xavier Bertrand, ministre du Travail et pompier de service. Pourtant, la promesse s’envole. Les médias passent à autre chose. Fermez le ban. Cela aurait pu être la fin de l’histoire…

C’est sans compter le député UMP Richard Mallié, acquis à la cause du dimanche travaillé et aux commerçants de sa circonscription. Il commet quelques mois plus tard une proposition de loi, après avoir organisé des auditions en la vendant sous la forme d’un toilettage, là où il s’agit de mettre fin à un principe fondamental. Mais elle ne trouve pas de majorité, preuve que les parlementaires sont alors plus attentifs à la réalité.

Le lobbying ne faiblit pas

Le lobbying ne faiblit pas pour autant. Il est même encouragé, comme en témoignent les échanges épistolaires entre Richard Maillé, Roger Karoutchi, Axel Poniatowski et François Fillon.

Ce n’est d'ailleurs que du fait de la pression de quelques enseignes prises de nouveau la main dans le sac que ce dossier revient aujourd'hui sur la table, et ce, à la veille des plaidoiries destinées à leur présenter l’addition de la somme de leurs infractions.

A grands renforts de moyens de communication, ces enseignes mobilisent tout ce qu’elles ont de réseaux pour obtenir les mêmes dérogations que dans le secteur de l’ameublement. Au nom de leurs salariés qu’elles ont placé dans cette situation en connaissance de cause. Au nom des étudiants qui leur doivent la vie. A les entendre. En balayant tous ceux qui ont perdu leurs emplois parce qu’ils ne pouvaient pas résister à ces géants et tous ceux qui ont trop peur pour refuser demain cette précarité supplémentaire.

Rebelote donc.

Le JDD a sorti dimanche dernier, très à propos, une interview de Luc Chatel et un sondage dont l’interprétation hasardeuse permet à l’ensemble des médias de reprendre en chœur, au moins dans un premier temps, que les français sont favorables au travail du dimanche. Le temps qu’ils se reprennent, il est déjà trop tard.

La vague sur laquelle surfent nos ministres en goguette est lancée. Luc Chatel se fait même filmer dans le centre commercial Thiais Village (Val-de-Marne) où il va à la rencontre des contrevenants.

Personne n’a prêté attention à ce que l’on voit à l’arrière-plan durant les trois premières secondes. Le député Richard Mallié fait la bise à la sénatrice Isabelle Debré. Là, je l’avoue, j’ai eu peur… J’ai eu le sentiment d’assister à un très mauvais remake.

En panne d’idées, les commentaires sur le Net des promoteurs de cette dérégulation supplémentaire accusaient de tous les maux de la terre et, tour à tour, les 35 heures, les syndicats archaïques, les vendeurs sur la Toile qui sont pourtant les mêmes enseignes, les mêmes empêcheurs de déréguler en rond.

Avec la crise financière qui a démontré l’importance d’un cadre légal, ces arguments ont d'abord fait flop. Mais, miracle de la stratégie de communication, cette même crise financière a ensuite servi de prétexte à l’idée d’aller chercher la croissance en travaillant le dimanche. Il ne s’agit plus de créer des emplois, mais d’éviter leur destruction.

La réalité est bien différente : la proposition de Richard Mallié ne contient même pas le doublement du salaire avancé comme argument. Luc Chatel se fait d’ailleurs fuyant, puisqu’il répond simplement au journaliste qu’elle prévoit des majorations, là où Xavier Bertrand semble mettre en avant le doublement du salaire.

Le droit au refus du salarié est avancé comme l’arme fatale. Il revient à prétendre qu’il suffirait d’inscrire le droit de refuser le harcèlement pour qu’il disparaisse, ou de penser que la question n’est pas un critère d’embauche. Là, le praticien rigole…

Pour évacuer le débat, Luc Chatel renvoie la patate chaude de son contenu aux partenaires sociaux. Le gouvernement pourra ainsi leur renvoyer la responsabilité en cas de difficulté d’application.

A quoi ont servi les travaux du CES et de l'OFCE ?

Cette proposition ne simplifie pas davantage la loi. Elle crée une nouvelle dérogation territoriale extensible à tout le territoire. Elle ne respecte pas non plus les engagements internationaux de la France. Elle revient surtout à concentrer les problèmes sur les départements déjà pollués par tous les maux de la société actuelle.

A quoi ont donc servi les travaux du Conseil économique et social (CES), ceux de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) qui ont conclu à l’absence d’impact économique de cette mesure ?

Déjà, sur le terrain, l’amendement concernant l’ameublement sert aux préfets à justifier, au nom de la concurrence, les ouvertures des enseignes du bricolage qui vendraient aussi de l’ameublement ; demain, elles justifieront les dérogations du secteur de l’électroménager et de l’équipement de la maison, puis à terme, par un effet d’entraînement, l’ensemble des commerces.

Après ce sera au tour des services. Xavier Bertrand a déjà franchi le cap en annonçant l’ouverture des crèches le dimanche, sans préciser que ce sont les mêmes salariés du dimanche qui les paieront sans doute double. Il ne restera alors qu’à obliger les fonctionnaires qui ne pourront plus faire autrement que d’accompagner « l’évolution de la société » en marche.

Le travail du dimanche sera banalisé. Les majorations seront absorbées dans la masse salariale comme lors du passage aux 35 heures. Nos gouvernants veulent revenir en arrière : au temps d’avant 1906 où le travail dominical était possible. Evolution ou régression ? C’est toute la question. Comment peut-on ouvrir un vrai débat quand le discours est à ce point caricatural et le lobbying si intense ?


Comme d'hab...   RUE89         



peace

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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 21:54

Toubib or not toubib ?




Dans les années 80, l’Etat français décide de réduire le numérus clausus, c'est-à-dire le nombre d’étudiants admis en seconde année de médecine. De presque 9 000 à la fin des années 70, il s’effondre à 3 500 en 1993. Le principe de cette mesure : s’il y a moins de médecins, il y aura moins de prescriptions et donc… la sécu fera des économies !  

C’était ignorer l’augmentation de la population, et surtout son vieillissement. La part des personnes âgées de plus de 85 ans va doubler d’ici à 2020.

A cette pénurie liée au numérus clausus en baisse, va s’ajouter le départ en retraite des chirurgiens issus du baby-boom. En effet, la moyenne d’âge d’un chirurgien aujourd’hui est de 51 ans. La France est donc obligée de se tourner vers l’étranger pour recruter ses médecins.

15 000 médecins étrangers

La France compte aujourd’hui 15 000 médecins étrangers. Parmi eux, 7 000 ont obtenu leur  diplôme hors de l’Union européenne. On les appelle les Padhue (Praticiens à diplôme hors Union européenne). Un tiers des Padhue  vient du Maghreb, un autre tiers d’Afrique noire. Le dernier tiers se partage entre le  Proche-Orient et autres pays du monde.
 
Ces médecins travaillent exclusivement dans les hôpitaux et n’ont pas le droit d’exercer dans le secteur privé.

En théorie, ils ne peuvent pratiquer que sous l’entière responsabilité d’un chef de service. En réalité, dans la plupart des cas, ils exercent livrés à eux-mêmes.

Des problèmes de statuts différents selon le pays d’origine

Le docteur Joseph Bakar, de nationalité syrienne, est gynécologue obstétricien. Il exerce depuis cinq ans en région parisienne. Son titre : assistant spécialiste associé.  Même compétence, même travail que ses collègues français mais son salaire est divisé par deux. Pourtant, ce ne sont pas les diplômes qui lui manquent. Pour obtenir les mêmes statuts que ses collègues français, Joseph Bakar n’a d’autre choix que de passer une série d’épreuves écrites pour pouvoir s’inscrire au conseil de l’ordre des médecins.

La situation du docteur Sylviu Bouzatou, anesthésiste roumain qui n’a jamais exercé en France, est beaucoup plus simple : son pays a intégré l’Union européenne le 1er janvier 2007. S’inscrire au Conseil de médecins ne lui prendra qu’une demi-heure. Un coup d’œil à son dossier et un rapide test de ses connaissances en français seront suffisants.

Ecarts de salaire, difficultés d’intégration

Le gouvernement français reconnaît au docteur Joseph Bakar la responsabilité de donner la vie, mais ne lui octroie que 2 400 euros brut par mois, soit moitié moins que ses collègues français ou de l’Union européenne. De plus, les heures effectuées au-delà des 35 heures, appelées plages additionnelles, lui sont payées 70 euros, contre  200 pour ses collègues chirurgiens français ou originaires de l’UE.

La Halde (la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité), dont l’avis n’est que consultatif, a qualifié cette situation d’injuste et de discriminatoire.

Qu’ils soient de l’UE ou pas, reste un problème crucial : celui de la langue. Difficile dans ce cas de poser un diagnostic. Sylviu Bouzatou doit encore perfectionner son français. Il a été recruté via un organisme spécialisé dans le centre hospitalier de Château-Thierry, qui manque cruellement de médecins. Dans ce centre hospitalier, 50% des effectifs est d’origine étrangère, venant de quinze pays différents : Russie, Madagascar, Egypte, Bénin...

Après quinze jours de cours intensif de français, le médecin roumain exerce à l’hôpital mais il n’est pour le moment pas à la hauteur des espérances. En plus de ses difficultés linguistiques, il connaît mal le matériel sur son nouveau lieu de travail. Qu’importe. Tout est fait pour le retenir.

Drame pour le pays d’origine

Sans ces médecins étrangers, le système de santé français serait en faillite. Mais un médecin étranger qui arrive en France, c’est aussi un médecin qui quitte son pays.

Les pays d’origine souffrent de l’expatriation de leurs personnels de santé. Pour l’Afrique, déjà mal en point, cette hémorragie est dramatique. Il y aurait plus de médecins béninois dans la seule région parisienne que dans tout le Bénin. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il manquerait quatre millions et demi de personnel dans les pays du Sud.

En France,  en attendant que le numérus clausus soit relevé pour pallier cette pénurie, le recours à ces spécialistes étrangers ne peut pourtant que s’accélérer.

 





 

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 22:56
Axel Poniatowski élu du val d'oise...
Aux cammarades du CNR, j'comprend pourquoi ça se bouscule pas aux portillons...

Et le mec, sourrire aux levres, il te dit que ça fait du bien, c'est un renouveau... Plutôt un retour en arrière... Nan... Celui du temps ou les gens mangeaient des rutabagas ?

J'voulais mettre une insulte... Mais nan j'me suis retenu... Hè ça gère...





Pour lui casser un peux les noix ( quand même un minimum...  Syndical lol ) la vidéo d'un pote... erèmiste... un peu profiteur... J'avou...    


Allez....  Pète un coup Axèl


 


Peace ...



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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 22:44
C'est à ça qu'on à affaire !






Mais la rue, j'en suis sur, parlera !



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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 22:20
Une spéciale pour la comunauté blog culture que je viens de rejoindre en éspérant apporter ma modeste contribution souvent revendicative mais comme le disait ma grand mère solange : " La culture, c'est comme l'agriculture... Si t'enlèv la terre... ben k'ès tu va smé...  Hein ! "

On a qu'une planète, partageons la !

Protégeons la !





La culture passe aussi par le rire ...






Et à toutes et à tous...  SORTEZ COUVERTS                                   @unity


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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 06:08
PASSE LE MOT CAMARADE !





ON OUBLIS PAS !






Combiens sont-ils ? Combiens sommes-nous ?


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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 01:27
Encore un qui avait vu juste !






quand on pense qu'aujourdhui elle est ministre de l'économie, de l'industrie et de l"emploi...
ça fait froid dans le dos !


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